L’air est meilleur, l’espace meublé où j’habite à temps très partiel est calme, agréable, lumineux. Les voisins agréables. Après des années d’oscillation, de nomadisme d’un appartement à l’autre, les relations s’approfondissent. Mais je ne pourrais pas renoncer au lac, à la pulsation culturelle urbaine même si je découvre la richesse qu’offre le canton du Valais. Vivre davantage en altitude?